Wall Street Institute propose 3 mesures pour améliorer le ROI de la formation professionnelle

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Wall Street Institute, enseigne de formation à l’anglais auprès des entreprises et des particuliers, proposait le 12 avril 2012 ses 3 mesures concrètes pour faire en sorte que le budget de la formation professionnelle soit investi plus efficacement.

Le dernier rapport de la Cour des comptes fait ressortir plusieurs problèmes : « Les financements sont abondants mais insuffisamment mutualisés, ce qui met d’autant plus en cause la pertinence du système actuel que celui-ci manque de transparence et fait apparaître des coûts élevés (…) les sommes mises en œuvre en matière de formation professionnelle ne constituent pas un ensemble homogène. Elles proviennent en effet d’acteurs divers, tant publics que privés et financent des dépenses elles-mêmes très hétérogènes dans leur nature (…) notre système de formation professionnelle peine à répondre aux exigences nouvelles qui lui sont assignées en termes d’accès à une qualification pour tous (…) et présente des défauts de cohérence, dont les principales victimes sont ceux qui, peu ou pas qualifiés, ne se voient pas offrir la possibilité d’un véritable parcours de formation. » 

Pour résoudre ces problèmes et optimiser le budget de la formation professionnel, Wall Street Institute propose 3 mesures se voulant simples et efficaces :

1. Privilégier les salariés qui ont peu de qualifications

A l’heure de la mondialisation, du libre-échange et des changements économiques continus, la formation professionnelle représente un enjeu majeur puisqu’elle permet d’une part de sécuriser les parcours professionnels et d’autre part, de faire en sorte que la population soit qualifiée et reste compétitive. Alors pourquoi ne pas privilégier les employés peu qualifiés, plutôt que les cadres ?

Natanael Wright, président fondateur du Wall Street Institute en France, déclare : « A partir du moment où la méthode est bonne, l’apprentissage des langues est particulièrement adapté aux publics qui se retrouvent mis à l’écart des formations efficaces. En effet, contrairement aux autres formations, l’apprentissage de l’anglais ne requiert aucun pré-requis. "Le plus sot des anglais parle l’anglais !" et c’est un anglais qui le dit. La formation continue et le DIF, proposés jusqu’à présent principalement aux cadres, doit s’étendre aux ouvriers, aux techniciens, aux assistant(e)s et plus généralement à tous ceux qui en ont le plus besoin pour progresser socialement. Former les directeurs c’est bien. Former les échelons en dessous, c’est essentiel, surtout pour l’économie. Les formations à l’anglais, si la méthode est bonne, permettent aux moins qualifiés d’être sur le même pied d’égalité que les autres, et ça c’est rare»

2. Responsabiliser les stagiaires pour s’assurer de leur motivation

Contrairement à ses concurrents, le Wall Street Institute a deux types de clients : les particuliers qui paient leurs formations de leur propre poche et les entreprises/Pôle Emploi qui paient pour les autres stagiaires.

« Quand nous analysons l’assiduité de notre clientèle, nous constatons que l’assiduité des particuliers est deux fois plus importante que celle des salariés qui sont financés par leur entreprise ou le Pôle Emploi, constate Natanael Wright. Or un stagiaire qui ne vient pas, ne peut pas progresser ! Notre système de formation continue déresponsabilise le stagiaire : s’il ne suit pas sa formation, il n’est jamais sanctionné (ni par son entreprise, ni par le Pôle Emploi pour les chômeurs). La collectivité ne peut pas continuer à financer des personnes qui ne viennent pas à leurs cours. L’apport d’un chèque de caution équivalent à 10 % du montant de la formation pourrait être demandé à tout salarié ou chômeur qui demanderait une formation. L’assiduité exploserait d’un coup. Le but ne serait pas d’encaisser ce chèque. Il ne saurait être encaissé que si la présence du stagiaire à ses cours était inférieure à 80 % sans aucune excuse valable. Si le stagiaire est assidu, il aura fait l’effort, et le chèque ne sera pas encaissé, qu’il échoue ou non à sa formation

Chez Wall Street Institute, la progression du stagiaire est garantie par contrat. Si l’organisme de formation s’engage, alors le stagiaire doit s’engager aussi.

3. Fixer des objectifs de résultats et abandonner la logique du nombre d’heures

Plusieurs organismes de formation s’en tiennent à un nombre d’heures. Mais comment être sûr que les employés feront de réels progrès et que la formation choisie sera un bon investissement ? 

Natanel Wright répond : « Il ne faut plus parler en heures mais en résultats ! Le critère devrait être le coût d’une formation pour atteindre tel objectif et non un simple coût horaire déconnecté de tout résultat. La loi ne parle que d’heures, il ne faudrait parler que de résultats ! Chez Wall Street Institute nous sanctionnons les formations par des tests réalisés par des organismes indépendants en début et fin de formation. Nous utilisons le TOEIC et le BULATS de l’université de Cambridge. L’indépendance de l’organisme certificateur est un gage de la qualité de la méthode pédagogique et le contenu de la formation. »

Fort de son concept, Wall Street Institute a par ailleurs pris un engagement : la garantie des résultats. Si le stagiaire respecte les conditions de formation en suivant le rythme établi et qu’il n’atteint pas les objectifs fixés, Wall Street Institute propose des heures supplémentaires gratuites pour atteindre ces objectifs. Autrement dit, Wall Street Institute s’engage sur un résultat mesurable, à la différence de nombreux organismes qui s’engagent sur un nombre d’heures et qui ne garantissent ainsi en rien les progrès faits par le stagiaire. 

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